La première fois que j’ai posé le pied au Japon, je croyais naïvement que « réserver un hôtel » suffirait. Très vite, j’ai compris que choisir son hébergement au Japon faisait partie intégrante du voyage lui-même. Dormir dans un ryokan traditionnel, se laisser envelopper par la vapeur d’un onsen, passer une nuit dans un hôtel capsule, partager un repas dans un minshuku familial ou faire étape dans un petit village au milieu d’un road trip… chaque choix façonne votre façon de vivre le pays.
Dans ce guide, je vous emmène avec moi à travers les différentes manières de loger au Japon : où dormir, quoi réserver, comment éviter les mauvaises surprises, et comment profiter au maximum de chaque nuit passée sur place. Que vous prépariez un grand voyage en train, un itinéraire en voiture ou une première découverte, vous trouverez ici un tour d’horizon complet des hébergements au Japon, avec des conseils très concrets et quelques confidences de voyageur.
Les ryokan : dormir au Japon comme dans un rêve traditionnel
Si je ne devais recommander qu’un seul type d’hébergement pour un premier voyage, ce serait sans hésiter le ryokan. Ces auberges japonaises traditionnelles offrent un concentré de tout ce qui fait la magie du pays : tatamis, futons, repas raffinés, bains chauds et cette hospitalité délicate qu’on appelle omotenashi.
Comment fonctionne un ryokan ?
En arrivant dans un ryokan, on vous demande souvent de déposer vos chaussures à l’entrée. On vous conduit ensuite dans une chambre toute en sobriété : sol en tatami, table basse, coussins, parfois un petit balcon avec vue sur un jardin ou une rivière. Le futon n’est pas encore là : il sera installé plus tard, pendant le dîner, par le personnel.
Le soir, vient le moment du repas kaiseki. Il est généralement servi dans votre chambre ou dans une salle dédiée. C’est un véritable ballet de petites assiettes : poissons grillés, légumes de saison, sashimi, bouillon clair, tempura, pickles… Tout est pensé pour célébrer les produits locaux. La plupart des voyageurs gardent un souvenir profondément marquant de ce dîner, autant pour les saveurs que pour la manière dont tout est présenté.
Une fois repus, direction le bain. De nombreux ryokan disposent d’un onsen, parfois en plein air, ou au minimum de grands bains communs. On se lave méticuleusement avant d’entrer dans l’eau, puis on se laisse flotter dans la chaleur minérale, avec pour seule bande-son le bruit de l’eau qui coule et le vent dans les arbres.
Futon, tatami, yukata : les codes à connaître
Dormir sur un futon posé sur le tatami peut inquiéter au début, surtout si vous êtes habitué à de grands lits d’hôtel occidentaux. En réalité, la literie est souvent très confortable, avec une superposition de matelas et de couettes. On vous prête aussi un yukata, un kimono de coton léger que vous pouvez porter partout à l’intérieur de l’établissement, y compris pour aller au bain ou au dîner.
Les horaires sont généralement plus stricts que dans un hôtel classique : heure de check-in limitée, heure fixe pour le repas, bain ouvert à certaines plages horaires. C’est le prix à payer pour un service extrêmement personnalisé. Le conseil que je donne toujours : essayez au moins une nuit de ryokan avec repas inclus dans votre itinéraire, surtout dans une région réputée pour ses onsen comme Hakone, Kinosaki, Kusatsu ou les Alpes japonaises.
Quel budget pour un ryokan au Japon ?
Les tarifs peuvent varier énormément. On trouve des ryokan simples autour de 80–120 € par personne avec demi-pension, et des établissements de luxe à plusieurs centaines d’euros la nuit. Mais il faut garder en tête qu’un séjour en ryokan inclut souvent le dîner et le petit déjeuner, parfois l’accès à des onsen privés, et une qualité d’accueil très supérieure à celle d’un hôtel standard.
Pour une première expérience, visez un ryokan de milieu de gamme dans une ville thermale accessible depuis Tokyo ou Osaka. Réservez plusieurs semaines, voire plusieurs mois à l’avance en haute saison (cerisiers en fleurs, Golden Week, automne).
Onsen et bains chauds : l’art japonais de se délasser
Les onsen, ces bains alimentés par des sources chaudes naturelles, sont intimement liés aux paysages japonais. Ils se nichent au pied des volcans, au bord de la mer, au cœur des forêts. Pour moi, un voyage au Japon sans onsen, c’est un peu comme un voyage en Italie sans gelato.
Les règles essentielles dans un onsen
Avant tout, le bain se prend nu, dans des espaces généralement séparés hommes/femmes. On commence par se déshabiller dans le vestiaire, puis on entre dans la zone de lavage : de petits tabourets, des douches, du savon, du shampoing. On se lave et on se rince soigneusement, on attache ses cheveux longs, et seulement ensuite on entre dans le bassin.
On ne met pas la tête sous l’eau, on ne nage pas, on parle doucement. La petite serviette que l’on reçoit ne doit pas toucher l’eau : on la pose sur le bord du bain, ou sur sa tête. La plupart des établissements affichent un règlement clair, même si vous ne lisez pas le japonais.
Tattoos, pudeur et onsen privés
La question des tatouages revient souvent. Certains onsen les interdisent encore, d’autres les acceptent sous conditions (petits tatouages couverts, privatisation du bain, etc.). Si vous êtes concerné, le plus simple est de réserver un ryokan avec onsen privé (en chambre ou « family bath » à usage exclusif) : vous profiterez de l’expérience sans stress.
Où profiter des meilleurs onsen ?
Si vous passez par Tokyo, Hakone et Kusatsu sont des classiques. Depuis Osaka ou Kyoto, Kinosaki Onsen et Arima Onsen font partie des destinations les plus appréciées. Beppu et Yufuin, à Kyushu, offrent une multitude de sources aux eaux variées. Dans le nord, les onsen cachés de Tohoku ou d’Hokkaido sont parfaits pour ceux qui recherchent le côté sauvage et authentique.
Hôtels capsules : dormir dans le Japon futuriste
La première fois que j’ai réservé un hôtel capsule au Japon, c’était un peu par curiosité. J’avais en tête ces images de capsules serrées les unes contre les autres, presque comme dans un vaisseau spatial. La réalité est plus nuancée : il existe aujourd’hui une grande variété de capsules, des plus basiques aux plus design.
Comment fonctionne un hôtel capsule au Japon ?
Concrètement, vous louez un espace de sommeil plutôt qu’une chambre. Cela peut être une capsule fermée par un rideau ou une porte, avec un matelas, une prise, parfois une petite télévision et un coffre. Les salles de bains et les espaces de vie sont partagés. On y trouve souvent un lounge, une laverie, des distributeurs, et parfois un grand bain commun.
Il existe des capsules « old school », très utilitaires, souvent fréquentées par des salariés qui ratent le dernier train, et des capsules « nouvelle génération », soigneusement décorées, pensées pour les touristes : lumières douces, casiers sécurisés, wifi partout, café en libre-service. Certaines sont réservées aux femmes, d’autres mixtes.
Avantages et limites des capsules
Les capsules sont parfaites pour une ou deux nuits en ville si vous avez un budget serré ou envie de tester un aspect ultra moderne du hébergement au Japon. C’est généralement sûr, propre, bien organisé. En revanche, il ne faut pas compter sur une intimité totale, ni sur un grand espace pour déballer ses bagages.
Si vous voyagez en couple, ce n’est pas toujours l’option la plus pratique : les espaces sont souvent séparés hommes/femmes, et les nuits peuvent être un peu bruyantes selon les voisins de capsule. Mais pour une expérience différente, surtout à Tokyo ou Osaka, c’est une curiosité à vivre au moins une fois.
Hôtels familiaux et minshuku : le Japon du quotidien
Entre le grand hôtel de chaîne et le ryokan de luxe, il existe une catégorie d’hébergements que j’aime beaucoup : les minshuku et petits hôtels familiaux. Ce sont souvent des maisons d’hôtes simples, tenues par une famille locale, avec quelques chambres seulement et un accueil très chaleureux.
Qu’est-ce qu’un minshuku ?
Un minshuku, c’est un peu l’équivalent japonais de la chambre d’hôtes. Vous dormez dans une chambre sobre, souvent sur tatami avec futon, et vous prenez le repas sur place, préparé par la famille. Le dîner est moins sophistiqué que dans un ryokan, mais souvent délicieux : poisson grillé, riz, soupe miso, légumes et spécialités locales.
On trouve beaucoup de minshuku dans les zones rurales, les villages de montagne, les régions de pêche ou le long d’itinéraires de randonnée (par exemple, sur le Kumano Kodo ou le Nakasendo). Pour les voyageurs qui veulent s’éloigner des grandes villes et voir le Japon « du quotidien », c’est un choix merveilleux.
Pour qui sont faits les minshuku ?
Je les recommande aux voyageurs qui n’ont pas peur de sortir un peu de leur zone de confort : horaires définis, salles de bains parfois partagées, anglais limité… mais une authenticité incomparable. C’est souvent dans ces hébergements que l’on vit les échanges les plus simples et les plus touchants avec les habitants.
Airbnb au Japon : ce qu’il faut savoir avant de réserver
Beaucoup de voyageurs se tournent spontanément vers Airbnb au Japon, surtout lorsqu’ils voyagent en famille ou en groupe. C’est compréhensible : avoir un salon, une cuisine, plusieurs chambres peut être très confortable. Mais la réglementation des locations courte durée, appelée minpaku, est stricte, et toutes les annonces ne sont pas forcément en règle.
Règles Airbnb au Japon : la question de la licence
Depuis plusieurs années, les hébergements de type Airbnb doivent disposer d’un numéro d’enregistrement officiel pour accueillir des voyageurs. Les plateformes ont fait du tri, mais il peut rester des annonces floues ou mal renseignées. Avant de réserver, vérifiez que :
– le logement indique clairement un numéro de licence ou d’enregistrement ;
– l’hôte communique facilement et fournit une adresse précise ;
– les avis récents mentionnent une arrivée sans problème.
Si vous ne voyez aucune mention de licence, ou si quelque chose vous semble étrange (instructions compliquées, changement de logement au dernier moment), mieux vaut chercher une alternative. Une annulation de dernière minute à Tokyo en haute saison peut être un vrai casse-tête.
Quand Airbnb est un bon choix ?
Pour les familles avec jeunes enfants, les groupes d’amis ou les séjours de plusieurs jours dans une même ville, un appartement peut être très agréable. Avoir une cuisine permet aussi de profiter des supermarchés japonais, des marchés locaux et des fameux convenience stores d’une autre manière. Mais si vous venez pour un premier voyage, je recommande d’alterner : quelques nuits en Airbnb, et au moins une ou deux nuits en ryokan ou minshuku pour ne pas passer à côté de l’expérience traditionnelle.
Si vous préférez rester dans un cadre parfaitement sécurisé, les hôtels familiaux, guesthouses et ryokan officiels restent les options les plus simples : réservation claire, accueil professionnel, procédures bien rodées.
Où dormir pendant un road trip au Japon : villages d’étape et hébergements ruraux
Le Japon se découvre merveilleusement bien en train, mais certains des plus beaux paysages se révèlent en voiture. Un road trip au Japon permet de relier des villages isolés, des plages discrètes, des onsen perdus dans la montagne. Et forcément, la question de l’hébergement prend une dimension différente : il faut penser aux villages d’étape, aux auberges rurales et à la logistique de la location de voiture.
Michi-no-eki et villages d’étape
Sur les routes japonaises, on croise souvent des michi-no-eki : des aires d’arrêt aménagées avec parking, toilettes impeccables, petite boutique et produits locaux. On n’y dort pas comme dans un hôtel, mais ce sont des points parfaits pour faire une pause, acheter des spécialités régionales et organiser son itinéraire.
Pour la nuit, il vaut mieux viser des auberges rurales, pensions, minshuku ou petits hôtels près de ces zones. Dans les Alpes japonaises, à Tohoku, sur Shikoku ou Kyushu, on trouve de nombreux hébergements modestes mais très accueillants, avec des parkings gratuits et souvent des bains chauds.
Conduire au Japon : pensez à la traduction de permis
Si vous prévoyez de louer une voiture pour votre road trip, il est essentiel de vérifier les conditions de permis. Pour les voyageurs dont le permis a été délivré en France, Belgique, Suisse ou Allemagne, un simple permis international ne suffit pas. Il faut une traduction officielle JAF de votre permis national pour conduire légalement.
C’est ici qu’un service spécialisé comme DrivinJapan devient précieux. Vous pouvez effectuer la demande en ligne avant le départ, recevoir la traduction chez vous ou choisir une option d’impression au Japon. Dans certains cas, il est même possible d’imprimer la traduction dans un convenience store (comme 7-Eleven ou FamilyMart) à l’aide d’un code, ce qui est très pratique si vous êtes déjà sur place mais que vous avez anticipé la démarche.
L’avantage majeur, c’est de ne pas perdre de temps à votre arrivée : votre traduction de permis JAF est prête, conforme et acceptée par les loueurs, ce qui vous permet de sortir de l’aéroport ou de la gare, de récupérer votre voiture et de rejoindre votre premier village d’étape sans stress.
Conseils pratiques pour bien choisir son hébergement au Japon
1. Réserver tôt, surtout pour les ryokan et onsen
Les meilleurs ryokan et hôtels avec onsen se remplissent très vite en haute saison (saison des cerisiers, Golden Week, automne). Pour avoir du choix, il faut souvent réserver plusieurs mois à l’avance, surtout si vous voulez une chambre avec bain privé ou vue particulière.
2. Adapter son hébergement à chaque étape
Pour un voyage équilibré, n’hésitez pas à varier : hôtel en ville à Tokyo ou Osaka pour être proche des transports, ryokan ou minshuku en zone rurale, capsule pour une nuit insolite ou de transit, appartement pour un long séjour dans la même ville. Le Japon se prête très bien à ce mélange de styles.
3. Budgets indicatifs
Pour vous donner un ordre d’idée (hors ultra haute saison) :
– hôtels capsules : souvent entre 25 et 50 € la nuit par personne ;
– guesthouses / hostels : 25 à 60 € en dortoir ou petite chambre ;
– hôtels business : 60 à 120 € la chambre double ;
– minshuku : 80 à 130 € par personne avec dîner et petit déjeuner ;
– ryokan : 120 à 300 € (et plus) par personne avec repas et onsen.
Bien sûr, tout cela dépend de la localisation, de la saison et du niveau de standing, mais cela vous permet de calibrer votre budget selon vos priorités.
4. Étiquette dans les hébergements japonais
La plupart des règles sont simplement du bon sens : respecter les horaires, parler doucement tard le soir, ne pas entrer avec des chaussures là où il est demandé de se déchausser, suivre les consignes données pour les bains. Les Japonais n’attendent pas que vous soyez parfait, mais ils apprécient que vous fassiez l’effort de vous adapter.
5. Meilleures périodes par type d’hébergement
Les ryokan avec onsen sont magiques en hiver ou en automne, quand l’air est frais et que les bains fumants contrastent avec la température extérieure. Les minshuku et hébergements ruraux sont particulièrement agréables au printemps et en été, quand les rizières sont vertes et les montagnes accessibles. Les capsules sont surtout utiles lors des grandes périodes d’affluence en ville ou si vous avez une correspondance matinale.
Si vous envisagez un road trip au Japon et que votre permis a été délivré en France, Suisse, Belgique ou Allemagne, pensez à anticiper votre traduction de permis JAF.
Avec DrivinJapan, vous pouvez faire votre demande en ligne avant le départ, recevoir votre traduction chez vous ou choisir une option d’impression au Japon, afin de récupérer votre voiture en toute sérénité dès votre arrivée.
Commander ma traduction de permisFAQ – Où dormir au Japon et comment choisir son hébergement ?
Quel est le meilleur type d’hébergement pour un premier voyage au Japon ?
Pour un premier séjour, l’idéal est de combiner plusieurs options : un hôtel bien situé en ville pour la praticité, au moins une nuit en ryokan avec onsen pour l’expérience traditionnelle, et éventuellement un petit hôtel familial ou minshuku en zone rurale. Cela permet de découvrir à la fois le Japon moderne et le Japon plus intime, sans se limiter à un seul type de logement.
Comment choisir un bon ryokan au Japon ?
Pour bien choisir votre ryokan, regardez la localisation (ville thermale, montagne, bord de mer), les avis récents, les photos des chambres et des bains, et surtout si les repas sont inclus. Un bon indicateur est la présence d’un repas kaiseki et d’un onsen. Pensez à réserver longtemps à l’avance en haute saison, surtout autour de Kyoto, Hakone ou des Alpes japonaises.
Airbnb au Japon est-il fiable pour se loger ?
Airbnb au Japon peut être une bonne option, mais il faut vérifier que le logement dispose d’un numéro de licence officiel et lire attentivement les avis des voyageurs. La réglementation est stricte, et certaines annonces peuvent être retirées à la dernière minute si elles ne sont pas en règle. Pour plus de sécurité, alternez avec des hôtels, ryokan ou guesthouses officiellement recensés.
Faut-il une traduction de permis pour louer une voiture au Japon ?
Oui, si votre permis a été délivré en France, Belgique, Suisse ou Allemagne, vous aurez besoin d’une traduction officielle JAF de votre permis national pour conduire au Japon. Le permis international seul ne suffit pas. L’idéal est d’anticiper et de faire votre demande en ligne, par exemple via DrivinJapan, afin d’avoir votre traduction prête dès votre arrivée.
Les hôtels capsules au Japon sont-ils adaptés aux femmes voyageant seules ?
De nombreux hôtels capsules au Japon proposent des étages ou des espaces réservés aux femmes, avec accès sécurisé. Ils peuvent tout à fait convenir aux voyageuses solo, à condition de choisir des établissements bien notés, récents ou rénovés, et idéalement situés près des gares principales pour éviter de rentrer tard dans des zones isolées.
Combien de temps à l’avance faut-il réserver son hébergement au Japon ?
Pour les hôtels de chaîne en ville, quelques semaines peuvent suffire hors haute saison. En revanche, pour les ryokan avec onsen, les minshuku sur les chemins de randonnée et les hébergements dans les zones très touristiques (Kyoto, Hakone, Miyajima), il est préférable de réserver plusieurs mois à l’avance, surtout si vous visez des périodes comme les cerisiers en fleurs ou l’automne.
Notre coup de cœur : les hôtels Candeo, entre ryokan et hôtel design
Parmi toutes les adresses testées par l’équipe DrivinJapan, les hôtels Candeo font clairement partie de nos favoris. Ils offrent ce mélange rare entre le confort d’un hôtel moderne et l’atmosphère apaisante d’un bain japonais, avec un soin particulier apporté aux espaces communs, à la lumière et aux matériaux. C’est le genre de lieu où l’on rentre le soir après une journée intense de visite, et où l’on a vraiment l’impression de se retrouver dans un cocon.
À Kyoto, l’hôtel Candeo que nous recommandons est presque une passerelle entre le monde du ryokan et celui de l’hôtellerie contemporaine : chambres épurées, lignes sobres, grande qualité de literie, bains sur le toit ou dans les étages supérieurs, et une atmosphère raffinée sans être intimidante. On y retrouve certains codes du ryokan (bain, calme, douceur des matériaux), mais avec la flexibilité et les services d’un hôtel urbain. C’est une adresse idéale si vous souhaitez une expérience un peu luxueuse sans entrer dans le très haut de gamme.
À Osaka, les hôtels Candeo séduisent surtout par leur sky view bath : un espace de bain en hauteur, avec vue sur la ville. Se glisser dans un bain chaud tout en regardant la skyline d’Osaka de nuit est une expérience vraiment mémorable, surtout si vous n’avez pas le temps d’aller dans une grande station thermale. C’est à la fois pratique pour visiter la ville (proximité des transports) et très agréable pour se détendre en fin de journée.
Enfin, le Candeo de Wakayama est une excellente base si vous souhaitez explorer la région, ses temples, son littoral et ses onsen. On y retrouve la même signature : chambres confortables, design soigné, ambiance paisible, et toujours ces bains qui transforment une simple nuit d’hôtel en véritable parenthèse de bien-être. Pour tous ceux qui hésitent entre un hôtel classique et un hébergement avec bain japonais, les Candeo sont une option que nous recommandons volontiers.